vendredi 13 avril 2012
De l’intérêt du market profile
Hello un petit billet express. Je vous parlais il y a quelques jours (je ne sais plus quand mais cela doit se trouver en début de file) que nous retournerions tâter les 180-165 histoire de ranger le désordre (en effet, comme la nature, le market profile n'aime pas le vide) ...ben voilà avec le PIB chinois, l'excuse était trop belle.
Je n'étais pas là quand nous sommes passés sous les 200 sinon j'aurais de nouveau shorter...dommage.
A plus les zamis et que la force soit avec vous
Je n'étais pas là quand nous sommes passés sous les 200 sinon j'aurais de nouveau shorter...dommage.
A plus les zamis et que la force soit avec vous
7 commentaires:
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C'est le jour du billet avec le sigle alcoa ;-)
RépondreSupprimeretant donné la chute du DJ dans les dernieres minutes, quels ont été les propos de la FED ????
RépondreSupprimerca sent le gaz quand meme....
position longue gardez votre sent froid, ca remontera un jour, position courte, aie aie aie
je suis passé en long mais j'ai quand meme des sueurs dans le dos pour la semaine prochaine.
Est ce que nous sommes au point bas... j'ai peur que non mais je ne veux pas influencer
Pour ceux qui ne connaissent pas le market profile: il s'agit d'une représentation des cours relativement intéressante. En ordonné toujours les prix mais en abscisse, point de temps. Le temps est repéré grâce aux codes de couleurs sur le graphique (ou avec des lettres). chaque 30 min correspondent à une couleur ou à une lettre
RépondreSupprimerex: 3000 A
2999,5 ABC
2999 ABC
2998,5 BC
A est le code pour la 1ere demi heure etc...
RépondreSupprimerSur mon graphique on remarque facilement des gros gaps (manque de liquidité). Cela agit donc comme un aimant
RépondreSupprimerPositions du trader Iksil : "tempête dans un verre d'eau" pour JPMorgan:
RépondreSupprimerLe PDG de la banque américaine JPMorgan Chase, Jamie Dimon, a traité vendredi de "tempête dans un verre d'eau" le bruit fait par les prises de positions massives d'un trader français basé à Londres, Bruno Michel Iksil, révélées la semaine dernière.
"C'est complètement une tempête dans un verre d'eau. Toutes les banques ont un portefeuille majeur, dans ces portefeuilles on fait des investissements qui semblent sages pour compenser des expositions", a déclaré M. Dimon, en réponse à un analyste qui l'interrogeait à l'occasion de la présentation des résultats trimestriels de la banque.
Une semaine plus tôt le Wall Street Journal avait écrit que des investisseurs étaient intrigués par les positions massives de M. Iksil.
Surpris par le volume de ses paris, des courtiers auraient surnommé l'opérateur de marchés "la baleine de Londres". Selon le quotidien financier, il avait investi de gros montants au nom de la banque dans des produits d'assurance, les "credit default swap" (CDS), qui sont des contrats de protection financière destinés à se protéger d'un éventuel défaut de paiement d'une institution.
En cas de faillite de l'organisation concernée, celui qui a vendu le CDS doit verser une certaine somme à l'acheteur, comme dans le cas d'une assurance. Or M. Iksil s'est récemment mis à vendre ces CDS. Le trader de JPMorgan fait donc un pari optimiste, puisqu'il estime qu'il n'aura pas à verser de "prime" aux acheteurs de ces CDS.
Les volumes concernés étaient tellement importants que "récemment, en partie à cause de mouvements de marchés ayant pu résulter des opérations de M. Iksil, d'autres fonds spéculatifs et autres investisseurs ont fait des paris opposés" et misent donc sur une faillite des institutions concernées, avait expliqué le Wall Street Journal, citant des sources proches du dossier.
Selon les sources du quotidien financier, M. Iksil a gagné 100 millions de dollars par an ces dernières années en travaillant pour le principal bureau d'investissement (Chief investment office, CIO) de JPMorgan.
A la suite de cet article, un porte-parole de la banque avait décliné de confirmer ces investissements. "Beaucoup de détails dans l'article sont faux", avait-il ajouté, expliquant que "(le) CIO fait des investissements de long terme dans le cadre d'une couverture macroéconomique pour notre bilan global".
Dow Jones Industrial Average : RPT - Wall Street finit en baisse
RépondreSupprimerLe Dow Jones des 30 valeurs industrielles américaines a perdu 1,05%, 136,99 points, à 12.849,59, le Standard & Poor's 500, indice de référence des gérants de fonds, a cédé 1,25%, 17,31 points, à 1.370,26 et le Nasdaq, à forte pondération technologique, a abandonné 1,45%, 44,22 points, à 3.011,33.
Sur la semaine, le Dow a cédé 1,6%, le S&P 500 -2% et le Nasdaq -2,2%.
Aux valeurs, les financières ont été particulièrement affectées, comme en témoigne le recul de 2,5% affiché par l'indice S&P des valeurs financières. Bank of America a perdu 5,34%, Morgan Stanley a cédé 5,15% et Goldman Sachs s'est replié de 4,40%.
JPMorgan Chase a abandonné 3,63% et Wells Fargo 3,46%.
"Ce que tout le monde cherche, c'est de la croissance à l'échelle mondiale, mais le ralentissement en Chine et la hausse des rendements nous incitent à nous poser des questions sur la force de la croissance", a déclaré Brad Sorensen, directeur des marchés et analyste chez Charles Schwab.
"Il y a là une correction d'envergure et les financières sont tout particulièrement visées."
Le Nasdaq a sous-performé les autres grands indices d'actions américain, pénalisé par la baisse affichée par le titre Apple (-2,81%).
Google n'a pas été épargné par les dégagements du jour, avec un repli de 4,05% lendemain de l'annonce par le moteur de recherche d'un deuxième trimestre consécutif de baisse de la recherche sponsorisée.