lundi 16 juillet 2012

Tendance CAC du 16/07/12

Je lance juste une file avec mes graphiques


Bon trades à tous

18 commentaires:

  1. Bonjour,
    une petite baisse ce matin, mais vu la hausse de fin séance de vendredi, les forces haussières sont de retour.
    déjà prochaine étape 3200

    RépondreSupprimer
  2. Salut tout le monde,

    Je suis rentré sur ATOS qui me semble bien configurée pour une hausse.
    J'espère que tout le monde a passé un bon week-end.

    RépondreSupprimer
  3. Je pense que la journée sera calme sur le CAC.
    J'espère que nous irons chercher une nouvelle fois les 3200 pts

    RépondreSupprimer
  4. Bonjour à tous,
    Les chandeliers s'agite à l'approche des stats us, je crois qu'un call en ce début de semaine pour un CT est une bonne option :)

    RépondreSupprimer
  5. S'agitent * c'est mieux
    Les Traders de Aaron blog sont en vacances ? ..

    RépondreSupprimer
  6. Bon évidemment si les stats us sont pas bonnes .... -.- zut -0,4 et -0,5

    RépondreSupprimer
  7. hello. je blogue depuis le galasy. je sors donc gagnant dernier trade de vendredi. a plus

    RépondreSupprimer
  8. Bjr le blog,
    @Jpex merci d'avoir lancé la file et pour graph

    pour moi tjr impossible de me connecter ( au blog) la journée, depuis la nouvelle version ...( là je viens de rentrer chez moi) je sais pas si d'autres sont aussi dans ce cas? J'en avais déjà parlé la semaine passé! Via mon ipod( touch) le site blogger ne me permet pas de sélectionner un profil? donc impossible de participer au blog :o( Pourrai etre la cause de la baisse de fréquentation???

    Pourvu que l'on cloture au dessus de 3180 pts ...

    RépondreSupprimer
  9. OPCVM français : décollecte de 16,85 milliards d'euros en juin

    16/07/2012 | 16:00

    Les OPCVM français ont enregistré une décollecte de 16,58 milliards d'euros en juin, selon Europerformance - a SIX company. Leurs encours s'élèvent désormais à 751,9 milliards d'euros, en recul de 1,35% sur un mois, mais en progression de 3,5% depuis le 1er janvier. Toutes les catégories de fonds, à l'exception des fonds spécialisés dans les matières premières, ont enregistré une fuite de capitaux.

    Les OPCVM de trésorerie ont enregistré les plus lourdes pertes : 13,11 milliards d'euros sont sortis de ces produits. Résultat, leurs encours ont atteint 341,7 milliards d'euros, en recul de 3,58% sur un mois. Ils progressent cependant encore de 8,6% depuis le début de l'année.

    Les produits actions ont affiché 1,59 milliards d'euros de décollecte. A la fin juin, leurs encours s'élevaient à 164,8 milliards d'euros, en hausse de 2,46% sur un mois grâce à la progression des marchés. Ils reculent de 1,08% depuis le 1er janvier.

    Les fonds obligataires ont aussi enregistré un flux sortant le mois dernier : 896 millions d'euros. A la fin juin, leurs encours s'élevaient à 67,02 milliards d'euros, en recul de 1,39% sur un mois. Ils enregistrent cependant une augmentation de 5,42% depuis le 1er janvier.

    Les fonds obligations convertibles ont affiché une décollecte de 4,49 millions d'euros. Leurs encours est de 11 milliards d'euros, en hausse de 1,38% en juin. Ils reculent de 0,66% depuis le début 2012.

    Les fonds performance absolue ont enregistré une fuite de capitaux de 522 millions d'euros. Leurs encours ont baissé de 2,16% en juin et ont reculé de 5,98% depuis le 1er janvier.

    Les produits diversifiés ont connu un flux sortant de 47,1 millions d'euros le mois dernier et affichent un encours de 77,7 milliards d'euros. L'encours a augmenté de 0,32% sur un mois et de 1,54% par rapport au 1er janvier.

    La décollecte pour les fonds à formule ou garantis s'est élevée à 326,2 millions d'euros. Au 30 juin, leurs encours s'élevaient à 55,9 milliards d'euros, en repli de 0,5% sur un mois et de 5,87% depuis le début de l'année.

    Les fonds spécialisés dans les matières premières ont récolté 7,24 millions d'euros. L'encours a atteint 687,3 millions de dollars, en augmentation de 3% sur un mois, mais en baisse de 18,42% par rapport au 1er janvier.

    RépondreSupprimer
  10. Le FMI abaisse ses prévisions de croissance

    16/07/2012 | 16:58

    Le Fonds monétaire international (FMI) a revu à la baisse lundi ses prévisions de croissance mondiale et averti que l'horizon pourrait s'assombrir davantage encore si l'Europe ne s'attaquait pas résolument et rapidement à la crise de la dette.

    À l'occasion de l'actualisation de ses "Perspectives économiques mondiales", l'organisation a également mis en garde un certain nombre de pays émergents comme la Chine ou l'Inde contre les risques de surcapacités de production.

    Elle a ramené sa prévision de croissance mondiale pour 2013 à 3,9% contre 4,1% auparavant. Pour 2012, elle laisse sa prévision inchangée à 3,5%.

    "Les risques à la baisse pesant sur ces perspectives mondiales affaiblies restent importantes", souligne le Fonds. "Le risque le plus immédiat reste que des décisions politiques tardives ou insuffisantes conduisent à une escalade de la crise de la zone euro."

    Dans les économies avancées, qui incluent les Etats-Unis, la zone euro, le Royaume-Uni et le Japon, la croissance devrait être de 1,4% seulement cette année et de 1,9% l'an prochain.

    Pour les économies émergentes et en développement dans leur ensemble, le Fonds a ramené ses projections à 5,6% pour 2012 et 5,9% pour 2013, soit, dans les deux cas, 0,1 point de moins que dans ses prévisions d'avril.

    La zone euro, elle, devrait voir sa croissance limitée à 0,7% l'an prochain, contre 0,9% prévu jusqu'à présent, après une contraction de 0,3% en 2012.

    Concernant la France, le FMI a réduit ses prévisions de croissance à 0,3% pour 2012 et 0,8% pour 2013, contre 0,5% et 1,0% prévus respectivement en avril.

    L'Espagne, elle, devrait être en récession l'an prochain comme cette année, alors que le Fonds tablait encore en avril sur un redémarrage timide de la croissance en 2013.

    Tout en saluant les "pas dans la bonne direction" franchis par les dirigeants européens lors du sommet de juin à Bruxelles, le FMI plaide pour une intégration budgétaire et bancaire accrue, qui passe selon lui par la création d'une garantie paneuropéenne des dépôts bancaires et un mécanisme de résolution pour les banques en difficulté.

    RépondreSupprimer
  11. ( suite ) ...

    DES RISQUES AUSSI AUX ÉTATS-UNIS

    Le FMI appelle la Banque centrale européenne (BCE) à fournir des liquidités abondantes aux banques à des conditions "suffisamment souples" et souligne qu'elle dispose de marges de manoeuvre lui permettant d'assouplir encore sa politique monétaire.

    Mais l'institution dirigée par Christine Lagarde ajoute que l'Europe n'est pas le seul risque menaçant la croissance mondiale.

    Le Fonds se dit ainsi de plus en plus préoccupé par l'incapacité des dirigeants américains à aboutir à un accord au Congrès permettant d'éviter des coupes automatiques dans les dépenses publiques et des hausses de la fiscalité au début de l'an prochain.

    Les Etats-Unis sont en effet confrontés à un "mur budgétaire" conjuguant l'expiration prévue à la fin de l'année d'allègements fiscaux entrés en vigueur pendant les deux mandats de George W. Bush et des coupes dans les dépenses représentent 1.200 milliards de dollars. Une double menace qui pourrait faire replonger la première économie mondiale dans la récession.

    Parallèlement, Washington court le risque d'atteindre avant la fin de l'année son plafond d'endettement de 16.400 milliards de dollars, donc de se trouver en situation de défaut à moins d'un accord au Congrès.

    Si les marchés financiers restent convaincus que les discussions entre la Maison blanche et le Congrès finiront par aboutir, le FMI souligne qu'un échec pourrait se traduire par "une forte réaction négative des marchés".

    Le Fonds estime parallèlement que les pays émergents sont confrontés à "une incertitude sans précédent" en raison du ralentissement de la croissance mondiale et de l'aversion des investisseurs pour le risque.

    "Dans les économies émergentes, les responsables politiques doivent se préparer à faire face à une baisse des échanges et à la forte volatilité des flux de capitaux", explique-t-il.

    Le FMI a ramené sa prévision de croissance 2012 pour la Chine de 8,2% à 8,0% et n'attend plus "que" 8,5% d'expansion en 2013, contre 8,8%.

    Il a aussi revu en nette baisse ses prévisions pour l'Inde, de 6,9% à 6,1% cette année et de 7,3% à 6,5% pour l'an prochain.

    Marc Angrand pour le service français, édité par Natalie Huet

    par Lesley Wroughton

    RépondreSupprimer
  12. EUR/USD: sell stops through 1.2180, ahead of tech support/sovereign bids 1.2160/70 (1.2150 possible barrier) large sell stops through 1.2150. Offers 1.2250/60 (real money, sovereigns) and 1.2290/00 (funds) buy stops up through 1.2300
    Je traduis : il y a un gros support à 1.2160/70 avec une barrière à option à 1.2150 et en dessous il y a des ordres de vente .
    il y a aussi des ordres de vente sous les 1.2300 posés par les hedges funds et surtout les fonds souverains (costauds) et au dessus des 1.2300 il y a des ordres d'achats.
    Voila, vous n'avez plus qu'à placer vos ordres.
    Bons trades.

    RépondreSupprimer
  13. Salut tout le monde.

    Nous avons reussi à accrocher les 3180 pour la clôture, ce qui nous permet d'envisager les 3200 pour demain.
    En tous les cas, j'y crois.

    RépondreSupprimer
  14. La journée me semble bien calme au regard du graph. Nous avons oscillé entre 3160 et 3180 sans volatilité.
    Je plains les day traders. On voit que le 14 juillet est passé. Les marchés seront ils calmes jusqu'au 15 Août ?

    RépondreSupprimer
  15. Taxe financière : La taxe sur les bons pères de famille arrive !

    13/07/2012 | 15:27

    C’est le branle-bas de combat chez les brokers et courtiers en ligne en ce moment. Si l’on en croit les dernières publications officielles et nos informations, la taxe sur les transactions financières voulue par Nicolas Sarkozy pourrait bel et bien être instaurée… et non pas en 2013 ou 2014, mais… dans 3 semaines, à compter du premier Août 2012 ! Outre l’impact sur leurs métiers, ce sera aux courtiers de collecter l’impôt et d’adapter leurs systèmes d’informations. C’est la double punition…

    Pourtant les modalités d’instauration et l’assiette de cette taxe présentée au printemps 2012 semblaient tellement peu abouties qu’il était évident pour la plupart des acteurs du secteur que cette idée resterait probablement au stade du projet et mettrait des mois voire des années pour germer. D’autant plus qu’il semblait peu concevable que la France prenne seule ce pari dans ce domaine qui est probablement le plus mondialisé.

    D’autre part, compte tenu du timing de présentation de ce projet, trois mois avant les élections présidentielles, l’objectif est apparu comme purement électoraliste. L’occasion était trop belle de punir enfin cette « finance qui marche sur la tête ». Je me souviens encore du discours d’un acteur du secteur « Ce ne sera jamais mis en place. C’est juste un discours pour récupérer quelques pourcents auprès des électeurs du centre gauche ».

    Quoiqu’il en soit notre nouveau président semble avoir décidé de conserver ce projet conçu dans la précipitation et même, dans un soucis de « justice juste », de tout simplement doubler la taxe.

    A priori à compter du 1er aout, tous les investisseurs, y compris étrangers, qui effectueront des opérations portant sur des actions d’une société française, dont la capitalisation boursière excédait 1 milliard au premier janvier de l’année en cours payeront une taxe au minimum de 0.1% du montant de l’opération. Cette taxe devrait être rapidement majorée à 0.2% ! Nous vous communiquerons prochainement la « black list » des sociétés françaises concernées.

    S’il vous arrive de passer des ordres, vous pouvez reprendre votre respiration. Si vous trouvez que cette taxe est bien morale, vous allez être sacrément déçu.

    Pour rappel, les objectifs sont les suivants : « décourager les mouvements spéculatifs de très court terme et renforcer la participation du secteur financier, dans la crise financière que nous traversons, à l'effort de redressement des finances publiques » (cf PLFR 2012). C'est-à-dire, dit autrement, stopper la spéculation et faire payer les traders.

    En l’état, d’après nos informations, le principe retenu du fait générateur de la taxation serait le transfert de propriété d’une action d’un investisseur à un autre, constaté en fin de journée.

    RépondreSupprimer
  16. ( suite )


    Dans cette hypothèse, les conséquences sont donc les suivantes :

    Une opération au SRD n’engendre pas de transfert de propriété sauf si elle est conservée en fin de mois. Elle n’est donc à priori pas assujettie à la taxe : vive le SRD.
    Théoriquement, un aller retour dans la journée ne devrait pas être concerné par la taxe.
    Les méchants hedges funds de leur coté réaliseront leurs opérations via des « equity swaps », sans transfert de propriété et ne seront donc à priori pas assujettis à la taxe.
    Les émetteurs de CFD qui donnent accès à des effets de levier importants permettent de traiter des produits de gré à gré, qui ne sont pas des actions et dont la valeur est basée sur la différence d’acquisition et de revente du contrat. Ils ne seront donc à priori pas assujettis à la taxe.
    Le forex, marché des devises sur lequel avec un capital de 100 euros vous pouvez agir avec un capital de 4 millions d’euros, n’est tout simplement pas concerné.
    La vente à découvert est toujours autorisée et possible…

    Mais alors, qui seront les grands perdants de cette « juste » initiative ?

    Toujours le même, le bon père de famille ! Et oui, le détenteur d’un compte PEA qui place uniquement ses économies dans les sociétés de notre bonne vieille Europe et soutient ainsi notre économie passe ses ordres au comptant. C’est lui qui va payer pour cette « satanée finance ».
    La concurrence entre les courtiers en ligne traditionnels et les émetteurs de CFD ou les broker Forex va s’intensifier.
    La liquidité du marché réglementé français devrait continuer de baisser probablement au profit de celle des « dark pool », par définition opaque.

    En conclusion et à priori, plus les intervenants spéculent moins ils payent cette taxe. Ceux qui vont réellement contribuer au renflouement des caisses de l’Etat seront les actionnaires investisseurs individuels déjà en voie de disparition après 15 ans de surplace pour leur portefeuille, dans le meilleur des cas, et sans tenir compte des impôts sur plus values payés les années positives.

    Pour mettre en place cette taxe, nous allons affaiblir un pan entier de notre économie car si les acteurs traditionnels du courtage ne devraient pas collecter beaucoup de ce nouvel impôt, leur niveau de chiffre d’affaires et de rentabilité pourrait en pâtir et donc indirectement leurs contributions en termes d’impôt sur les bénéfices.

    Que l’on soit pour ou contre l’instauration de cette taxe, les modalités de sa mise en œuvre ne devraient pas permettre d’atteindre les objectifs fixés. Ce projet ressemble plus à un plan de communication lancé initialement par la droite, qu’elle n’aurait probablement pas honoré en l’état, que la gauche s’est sentie par principe obligée de mettre en œuvre et dans des proportions plus importantes. Cette taxe paraît dans tous les cas contre productive et ne répond pas à une réelle stratégie de renflouement des caisses. Dommage…

    La bonne nouvelle c’est que l’investisseur individuel pourrait bien finir par être totalement écœuré et à l’écart des marchés. Quand ce sera le cas, les indices marqueront des points bas historiques !



    Franck Morel
    © Zonebourse.com 2012

    RépondreSupprimer

Les informations et analyses diffusées par le site Aroon Bourse Blog ne constituent qu une aide à la décision pour les investisseurs. La responsabilité du blog Aroon Bourse et des différents contributeurs ne peut être retenue directement ou indirectement suite à l'utilisation des informations et analyses par les lecteurs. Il est recommandé à toute personne non avertie de consulter un conseiller professionnel avant tout investissement. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter.