Les chiffres de l'emploi US publiés aujourd'hui sont plutôt rassurants. Les opérateurs attendent maintenant les chiffres officiels qui tomberont vendredi. En attendant, les investisseurs se focaliseront sur la restructuration de la dette grecque. Il faudra attendre 18h demain avant se savoir si cette opération est un succès. A l'heure actuelle, 55% du montant attendu serait atteint. Les rumeurs semblent plutôt positives.
On suivra aussi de très près la réunion de la politique monétaire de la BCE qui devrait laisser ses taux inchangés.
Demain, le CAC? (Résistances=Rxxxx ; Supports=Sxxxx)Vous l'avez compris, les rumeurs concernant la Grèce feront la tendance. Les statistiques économiques seront peu nombreuses ce qui n'aidera pas les opérateurs. Ces derniers pourraient donc rester attentistes.
Vous pourrez suivre ces statistiques économiques en live à partir de ce lien ICI.
Pour demain, je serai plutôt haussier en jouant la réussite de l'échange de la dette Grecque. Dans ce cas, mon target serait sur les R3430. Mon objectif des R3400 mentionné hier soir est déjà quasi acquis. Coté analyse technique, on suivra l'éventuel croisement des MM (moyennes mobiles) et notamment la MM7 et la MM20 jours.
Résistances: 3400 / 3432-5 (MM7) / 3450-2
Supports: 3372 / 3350 / 3333
On se retrouve demain dans les commentaires de ce message. J'espère que vous serez toujours aussi nombreux à partager vos avis. Les nouveaux peuvent se présenter brièvement dans la rubrique "Qui sont les Padawans" ICI.
Bons trades et que la force soit avec vous.
Timing spécifique Aroon blog:
TCT (très court terme)=> journée
CT (court terme)=> 2 jours à 10 jours
MT (moyen terme)=> 10 jours à 1 mois
LT (long terme)=> anticipation sur un trimestre
TLT (très long terme)=> anticipation annuelle
Pour participer aux commentaires du blog:
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N’hésitez pas à me contacter en cas de problèmes.
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N’hésitez pas à me contacter en cas de problèmes.
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merci Aroon pour ton analyse
RépondreSupprimerPour le 08/03/12 :
"La séance de jeudi s’annonce chargée, tant sur le plan des résultats de sociétés, avec notamment EADS, Carrefour, Air France-KLM et Arkema, que de l’économie, qui sera dominée par les conseils de la Banque centrale européenne et de la Banque d’Angleterre. Les analystes tablent sur un maintien du refi à 1% dans la zone euro et à 0,50% du repo outre-Manche. Mario Draghi tiendra une conférence de presse au cours de laquelle il devrait commenter les résultats de la deuxième opération de financement à trois ans, qui s’est soldée par un succès. Jeudi marque par ailleurs la date limite, fixée à 21h00, de l’échange de dette pour les détenteurs privés d’obligations publiques grecques.
Sur le front des entreprises, EADS, Carrefour, Air France-KLM, Arkema, Scor, JCDecaux, Iliad, Séchilienne-Sidec et Gemalto publieront leurs comptes 2011 avant Bourse. Lagardère fera de même à l’issue de la séance. Plastic Omnium, Harvest, Haulotte Group, Infotel, Jacquet Metal Service, Neurones et Sapmer se plieront au même exercice.
Sur le plan macroéconomique, l’Insee publiera à 7h30 les chiffres de l’emploi salarié en France au 1er trimestre, qui seront suivis une heure plus tard par l’enquête de la Banque de France sur le sentiment dans les affaires en février et la balance commerciale de janvier. L’Allemagne publiera à midi la statistique de la production industrielle du même mois. La Banque d’Angleterre annoncera sa décision de politique monétaire à 13h00, la BCE faisant de même à 13h45. Son président tiendra une conférence de presse à 14h30. Seule indicateur américain du jour, le Département américain du Travail dévoilera au même moment les inscriptions hebdomadaires au chômage. Le consensus Thomson Reuters table sur une stabilisation des demandes à 351.000."
"Grèce : Athènes emmagasine les adhésions de ses créanciers :
RépondreSupprimerLa Grèce marquait des points mercredi soir dans le processus de restructuration de sa dette publique, amassant les adhésions de ses créanciers au projet d'échange d'obligations, avant l'heure de vérité qui sonnera jeudi à 20H00 GMT, dernière limite pour participer à l'opération.
Des plus petits porteurs de titres grecs, entraînés à leur corps défendant dans ce grand jeu financier, aux poids lourds de la finance internationale, la tension est palpable, alimentant déclarations contradictoires et nervosité boursière, la Grèce officielle jouant le chaud et le froid.
Selon une estimation réalisée par l'AFP mercredi vers 18H00 GMT, à un peu plus de 24 heures de l'expiration du délai de candidature, le pourcentage des créanciers privés s'étant déjà prononcés en faveur de l'échange de dette grecque frôle les 55% du montant total visé par l'opération, qui vise à alléger le fardeau de la dette pesant sur la Grèce.
L'Institut de la finance internationale (IIF) qui représente les principales banques de la planète, a indiqué en fin d'après-midi qu'elle avait engrangé l'acceptation de 40,8% du montant total visé par l'opération, soit 84 milliards d'euros.
L'IFF a cité le nom de grandes banques, assureurs et fonds d'investissement (Deutsche Bank, HSBC, BNP Paribas) ayant apporté publiquement leur soutien au plan. Plusieurs autres grands détenteurs de titres grecs n'ont pas encore annoncé leur décision.
Si l'on ajoute à ces 84 milliards, plus de 17 milliards de fonds gérés par la Banque de Grèce, 1,5 milliard géré par le réassureur allemand Munich Re, 8,1 milliards gérés par l'allemand HRE, et la participation de deux banques portugaises BPI et CGD (900 millions d'euros), on parvient à une participation frôlant les 55% sur les 206 milliards d'euros concernés par l'échange de titres, selon un calcul réalisé par l'AFP.
Sauf prolongation de dernière minute, exclue par Athènes, les créanciers privés de la Grèce dont les obligations relèvent du droit grec doivent dire d'ici jeudi à 20H00 si oui ou non ils acceptent la proposition du gouvernement grec, d'échanger leurs obligations contre de nouvelles d'une valeur réduite de plus de moitié et dont l'échéance a été repoussée.
(à suivre)
(suite)
RépondreSupprimerUn délai supplémentaire court jusqu'au 11 mars pour les obligations relevant d'un droit étranger.
Athènes avait averti mercredi les créanciers rétifs qu'ils s'exposaient au final à des pertes quasi-intégrales de leur mise s'ils n'acceptaient pas la proposition, au lieu de limiter les dégâts autour de 73%, comme prévu par les termes de l'opération.
Mercredi, alors que les médias égrenaient des listes d'institutions financières étrangères ayant annoncé leur ralliement, un porte-parole du gouvernement, Georges Stavropoulos, a fait part de son optimisme: "je crois que tout ira bien, les informations que nous avons sont positives", a-t-il affirmé à la radio Skaï.
L'opération "devrait se dérouler sans accroc" car "elle reste intéressante financièrement pour le secteur privé", a aussi affirmé le Commissaire européen aux Affaires économiques et financières Olli Rehn dans un entretien au quotidien français Le Figaro.
Le co-négociateur en chef de l'opération, le Français Jean Lemierre a indiqué mercredi soir à l'AFP que la tendance était favorable. "C'est très important actuellement de voir que beaucoup d'institutions qui ont des montants importants (de dette grecque) vont à l'échange" a-t-il dit à l'AFP.
"Si un seul établissement y allait on pourrait s'interroger, mais si de nombreux groupes y vont, on ne peut pas considérer que tous prennent de mauvaises décisions" a-t-il ajouté.
Seule fausse note publique, Bild, le journal le plus lu d'Allemagne, a annoncé qu'il refusait d'échanger sa dette grecque. Le journal avait acheté pour 4.815 euros d'obligations grecques en décembre pour pouvoir s'offrir ce plaisir après avoir fait campagne pendant des mois contre la Grèce.
L'enjeu du PSI pour la Grèce et la zone euro est d'assurer une participation d'au moins 75% des banques et fonds prêteurs à la restructuration, faute de quoi l'opération serait annulée, exposant le pays à la banqueroute dès le 20 mars.
Selon un rapport de l'organisation bancaire internationale (IIF), qui a mené les négociations sur l'opération, au nom des créanciers privés, un ratage du PSI ébranlerait l'économie européenne et mondiale. Opportunément dévoilée lundi, l'étude chiffre à 1.000 milliards le coût d'une banqueroute grecque.
Sur le front intérieur, les pressions du gouvernement se sont avérées partiellement payantes: toutes les banques du pays ont été convaincues d'apporter leurs titres.
Restent cinq caisses de retraites d'assurances grecques contrôlant 2 milliards d'euros, dont celle des forces de l'ordre et celle des journalistes, qui ont décidé de bouder l'opération, leurs directions n'accordant aucun crédit aux promesses du gouvernement de compenser les pertes prévues, et redoutant des coupes dans les prestations.
Le gouvernement a minimisé l'impact de la bronca, qui concerne 1% du total des titres en jeu au niveau mondial, d'autant qu'il a déjà prévenu que pour les titres relevant de son droit national, il aurait recours à des clauses d'action collective (CAC) contraignant les créanciers rétifs à suivre le mouvement.
Les Bourses européennes qui avaient chuté mardi sur des craintes liées au succès de cette gigantesque opération, ont repris quelques couleurs mercredi. La Bourse de Paris a terminé en hausse de 0,89%, celle de Londres à gagné 0,44%, et celle de Francfort 0,57%."
(AFP)
Robin , Bjour,
RépondreSupprimerj'ai bien lu ton explication sur ma question sur les warrants, et compris , je t'en remercie.
Bonne journée à toi
passez ttes et ts une bonne journée
RépondreSupprimerMerci Aroon pour la tendance !
RépondreSupprimerCoupure d'électricité de 12h à 16h30... pas d'internet dans la foulée...
@ François : j'ai repris l'autre file. Et bien ! ça me fait un programme de visites pour quelques années... J'ai recopié les suggestions sur un fichier texte, et je me mets ça en réserve sur ma boîte mèle.
A tou(te)s, bonne fin de nuit : très heureux de vous retrouver demain !
Bonne nuit Qalf, les resultats pour AKE sont bon elle devrait bien reagir aujourd'hui...attention c est quand meme un titre volatil...
SupprimerA bientot
...bons..
SupprimerIa Ora Qalf ,
Supprimerj'espere que tu as bien dormi ,-du sommeil du juste !
Oui , un joli programme !!
Merci d'y avoir preté attention .
ça doit etre galere ces coupures d'electricité !!
Bonne journée à toi
Merci Aroon pour le billet...
RépondreSupprimerJournee importante, l indice va monter au rythme du pourcentage d echange de dette...
J ai remonte mon stop sur GLE
Bonne journee a tous
Bonjour le monde, et merci a Aroon pour son analyse quotidienne!
RépondreSupprimerMerci Aroon........bonne journée le blog!
RépondreSupprimerAahhh, grr, je sais pas si il y en avais qui avais vu mon post hier je boulais rentrer sur haulotte l hyper speculative! J aurai mieux fais au lieu de vouloir la prendre encore plus bas, Grrrr
RépondreSupprimerOui elle est lancee la...)-:
SupprimerBonjour,
RépondreSupprimerje traine toujours le call pris à 3465,
pour moi c'est le dépassement de 3425 qui ouvrira la voie vers une hausse.
Hello tout le monde
RépondreSupprimerLe CAC passe direct 3420 reste 3450 mais suis assez confiant.
J'ai bien fait de reprendre GTO, décidément je gagne à tous les coups avec cette valeur (ça doit faire 5 fois en 6 mois), par contre AKE est un peu décevante pour le moment (mais on a quand même 6% de pv depuis avant hier), EADS je l'avais un peu maté...faut jamais regretter !
Allez à +
Oui sur AKE aussi, je garde encore un peu mais vite la lacher pour reccup du liquide...
SupprimerBien vu pour GTO Robin
Bonsoir David,
SupprimerMerci pour les encouragements. J'ai suivi votre conseil. J'en suis très satisfait.
Bonne soirée !
Hello à ts ,
RépondreSupprimeroui , les 3420 sont passés direct, reste à confirmer.
qqs news :
"Grèce : premiers signes positifs de participation des créanciers privés :
A la veille de l'échéance fixée jeudi soir, plusieurs dizaines de créanciers privés ont annoncé mercredi leur volonté de participer à l'échange de dette grecque, envoyant un message favorable quant à l'issue de l'opération, selon l'un des deux négociateurs en chef.
Un groupe de 31 établissements a fait savoir qu'il apporterait ses titres à l'échange, pour un total de 84 milliards d'euros, soit 40,8% du montant visé par l'opération, qui atteint 206 milliards.
Un message perçu comme "une bonne indication de tendance" par Jean Lemierre, conseiller du président de BNP Paribas et co-négociateur en chef lors des négociations qui ont mené à l'accord du 21 février à Bruxelles.
"C'est très important actuellement de voir que beaucoup d'institutions qui ont des montants importants (de dette grecque) vont à l'échange", a fait valoir M. Lemierre.
Pour lui, "si un seul établissement y participe, on peut s'interroger, mais si de nombreux groupes y vont, on ne peut pas considérer que tous prennent de mauvaises décisions".
Peuvent être d'ores et déjà ajoutés au total de 84 milliards les 18 milliards d'euros contrôlés par des fonds de retraite grecs, eux-mêmes gérés par la banque de Grèce, qui ont donné leur approbation.
Par ailleurs, le réassureur allemand Munich Re a annoncé mercredi qu'il ajouterait ses titres à l'échange, à hauteur de 1,53 milliard d'euros. Même confirmation pour deux banques portugaises, BPI et CGD, dont les dernières publications faisaient état d'un total de 900 millions d'euros environ.
En outre, le premier détenteur de dette grecque hors de Grèce, la banque allemande Hypo Real Estate (HRE), ne s'est pas prononcé publiquement depuis l'accord sur les nouvelles conditions du plan, à Bruxelles le 21 février, mais avait auparavant fait part de son intention de contribuer.
La structure de défaisance de HRE, baptisée FMS, détenait, en fin de premier semestre 2011, environ 8,1 milliards d'euros de dette grecque.
En intégrant l'ensemble de ces éléments, la participation frôlerait 55%, selon un calcul effectué par l'AFP.
Une incertitude relative pourrait néanmoins demeurer jusqu'à la fin officielle de la période d'échange, jeudi à 21H00 (20H00 GMT), car tous les détenteurs privés de dette grecque ne prendront pas position publiquement.
"Les grandes institutions qui sont cotées expriment leur choix. Mais des fonds d'investissement n'ont pas à rendre publique leur décision", a ainsi expliqué M. Lemierre.
A la veille du verdict, le front d'opposition affiché à l'opération était en tout cas modeste."
(AFP)
Bonne journée à ttes et ts
Hello le Blog. Bon le marché retrouve des couleurs à la vieille de l'annonce des créanciers pour le cas Grec.
RépondreSupprimerJe suis entré hier en fin de soirée sur ACA et KN mais et j'attends pour solder (stop positioné de toute façon) demain en espérant que le marché ne vendra pas la nouvelle car la hausse de ce matin est dejà peut être un signe.
A+
10h14...3450 depasse....
RépondreSupprimerC est bon Robin catapulte reparee (-;
Bon 3450 franchi et maintenant qu'attendre de l'indice ??
RépondreSupprimerEnvolée vers les 3500 si bonnes stats cet AM et si ce soir accord bouclé que va t-il se passer pour les fonds qui ont misé sur la faillite de la Grêce ??.
Selon une étude il faudrait plus de 12% de refus pour que ces fonds sortent gagnant de leurs placements.
10H43
RépondreSupprimerle rachat des bear va aider à dépasser les 50
Hello. Les marchés se reprennent et mon objectif d'hier soir est largement atteint. On attend les US et la stat du jour qui ne devrait pas perturber les Traders (sauf grosse surprise mais je n'y crois pas). Les haussiers ont bien repris la main.
RépondreSupprimerGTO booste, AKE ça va, TEC aussi, et le CAC explose les 3450, bref tout va bien, ça fait même peur donc prudence ! Mais en même temps on est dans les excès, à la hausse, puis à la baisse, puis encore à la hausse...pour 3700...à suivre
RépondreSupprimerHello Robin. Tjrs pas pris TCH ?, elle resiste fort bien et penses tu qu'elle ira rejoindre ta cible 1.85/1.9?.
SupprimerEs tu entré sur GLE ou attends tu demain ?.
TY.
Salut Lybou, je suis rentre hier sur GLE, si l accord sur l echange de dette et valide ce soir les banques seront moins sous pression,et on pourra peut etre profiter d une monte sur celles ci...
Supprimer...est valide...
SupprimerOui TCH résiste bien, il ne faut jamais être une tête de mule, ceci dit au niveau où elle est, je pense qu'il faut attendre la rupture des 2.35/2.40 pour viser cassage des 2.66 (ou alors l'attendre en bas bien sûr)
Supprimerà 3465 je perds 5% sur mon call pris 3465 2 jours avant,
RépondreSupprimeril s'agit du CAC7L
Riad, pourquoi es-tu investi sur ce type de produit? est-ce que tu connais bien le fonctionnement? Si ce n'est pas le cas je t'invite à te renseigner par exemple sur l'effet de slippage http://www.leblogfinance.com/2008/10/le-beta-slippin.html Le CAC7L est extrêmement sujet au beta-slipping. Il y a beaucoup d'autre moyen moins coûteux pour avoir du levier sur indice (options,CFD,turbos,fce, certificats spread...) Les trackers à levier sont catastrophiques.
SupprimerJe suis sortie du call à 3475 avec une perte de 60 €
Supprimerles cfd : binck ne fait pas
les turbo : je ne touche, ça désactive
les certificat pread, option je ne connais pas
a tu le leblé, ISIN.. pour le cac (long)?
En esperant que ce qui soit un faux et une rumeur ,perso , je n'y crois guere , mais je vous le post pour partager l'info :
RépondreSupprimer"Un document écrit contenant des informations détaillées quant au défaut de la Grèce a été envoyé à deux directeurs de banque de Wall Street au mois de janvier dernier. The Slog possède également des sources lui ayant confirmé l'existence du document. Selon elles, les employés de ces banques auraient - du moins dans un premier temps - pensé que le plan y étant énoncé représentait plus qu'un simple plan d'urgence. Selon ce plan, le 23 mars serait la date à laquelle le défaut de la Grèce devrait être annoncé.
Certains directeurs de banques de Wall Street auraient reçu des documents détaillés contenant la date exacte de l'annonce du défaut de la Grèce, ainsi que des ordres techniques concernant la fin de l'utilisation de l'Euro en tant que devise. Cette nouvelle est arrivée chez Slogger's Roost lundi dernier, après quoi je me suis démené pour obtenir confirmation. Cette confirmation m'a été donnée aujourd'hui. L'une des banques ayant reçu cette lettre est Barclays Capital (Barcap), dont le directeur est le très controversé Bob Diamond. Les autres se doivent encore de rester anonymes afin de protéger leurs sources.
Le document indique que la Grèce sera déclarée comme ayant fait défaut par les agences de notation après la fermeture des marchés le vendredi 23 mars prochain. Durant le weekend qui suivra, les comptes en banques détenus par les banques Grecques seront bloqués afin d'éviter toute fuite de capital. La lettre contiendrait également une liste très limitée concernant des exceptions' à ces impossibilités de retrait. Les banques Grecques sont tenues de ne participer à aucune transaction en Euro à l'ouverture de la bourse le lundi 25 mars. Tous les marchés Grecs seront fermés pour au moins une journée'.
J'ai jusqu'ici été incapable d'établir quelle était la source de ce document. L'un de mes informateurs m'a indiqué qu'il avait suggéré à ses amis et clients Grecs de vendre rapidement, de vider leurs comptes en banque, et de se tourner vers une devise forte
(à suivre)
(suite)
RépondreSupprimerLe rapport indique également que les plus gros investisseurs et insiders savent parfaitement ce qui est sur le point de se produire et se tournent actuellement vers des instruments financiers qui soient en mesure de résister à l'effondrement qui résultera de l'annonce officielle du défaut Grec. Le public, quant à lui, paiera le prix fort.
L'Europe est sur le point de s'effondrer. Lorsque cela se produira, la prochaine phase de la crise fera son apparition. Il y a de fortes chances que nous assistions à des fuites de capital depuis l'Europe vers les Etats-Unis, ce qui aurait un impact direct sur les actifs libéllés en dollars, dont les actions Américaines, les matières premières et les métaux précieux. Il y fort à gagner à parier que l'attention se tournera alors vers les Etats Unis, le dollar et la dette du gouvernement américain.
Nous avons pu observer de faux signaux d'alarme par le passé, et il se pourrait que ce document soit l'un d'entre eux. Il n'en demeure pas moins que lorsqu'une alarme incendie se déclenche, vous évacuiez les lieux avant de vérifier qu'il y ait effectivement émanations de fumée. Sans cela, vous pourriez vous retrouver coincé dans un bâtiment en feu."
24hgold - Mac Slavo est l'éditeur du site Shtfplan.com "
Doc trouvé sur bourso ce jour (par hasard) , je n'affirme pas que ceci est vrai , je n'en ai aucune idée , en fait , donc à prendre avec recul et de là où ça vient ,j'ai hesité et finalement , je me suis decidé à le poster par esprit de partage .
Concernant la Grece , je suis optimiste .
"Dette grecque : la restructuration de la dernière chance sur la bonne voie :
RépondreSupprimerLa Grèce croit fermement au succès de l'indispensable opération de restructuration de sa dette qui engrange au fil des heures depuis mercredi l'adhésion d'un nombre croissant des grands créanciers du pays avant l'expiration du délai officiel jeudi à 20H00 GMT.
Mercredi soir, les créanciers représentant plus de 55% des 206 milliards d'euros de la dette grecque concernés par cet effacement volontaire, avaient indiqué qu'ils participeraient à l'opération, sorte de semi-faillite contrôlée du pays visant à pacifier la zone euro.
Jeudi à la mi-journée, les Bourses européennes semblaient croire au succès de l'opération, la Bourse de Paris gagnant ainsi 1,97%, celle de Francfort 2,17% et celle de Londres 1,36%, vers 12H30 GMT.
Cet échange de titres, qui est aussi la plus importante restructuration de dette d'Etat jamais engagée, doit permettre d'effacer plus de 100 milliards d'euros de dette du pays sur une ardoise totale de plus de 350 milliards d'euros due par la Grèce.
Jeudi matin, à quelques heures du dénouement de ce vaste appel aux bonnes volontés des détenteurs de dette grecque, la majorité des médias grecs tablaient sur une participation des créanciers représentant au moins 75% de la dette.
Au-dessous de ce seuil la Grèce a prévenu qu'elle renoncerait à lancer l'opération, pourtant vitale, afin d'éviter au pays un défaut incontrôlé le 20 mars face à l'impossiblité de rembourser 14,4 milliards d'euros d'obligations arrivant à échéance.
La publication du taux de participation interviendra vendredi à 06H00 GMT, a indiqué à l'AFP une source ministérielle, sans exclure une déclaration gouvernementale jeudi soir. L'échange concret des titres doit intervenir lundi pour les obligations de droit grec (86% du total) et le 11 avril pour les titres de droit étranger, selon le calendrier officiel.
Le quotidien financier Naftemporiki soulignait vendredi "l'optimisme" du ministère des Finances sur l'issue de l'offre d'échange. Et le journal Ta Nea (pro-gouvernemental) jugeait l'opération "sur la bonne voie".
Interrogé par l'AFP, le ministère des Finances s'est cependant refusé à tout pronostic, assurant ne "pas savoir comment le processus avance", concédant cependant que "les grains s'ajoutent petit à petit dans le sac".
(à suivre)
(suite)
RépondreSupprimerParmi ces "grains" figurent pour l'heure les principales banques grecques et étrangères qui se sont déclarées prêtes à volontairement échanger leurs obligations contre de nouveaux titres d'une valeur réduite de plus de moitié, ce qui représentera une perte totale de 73% pour ces institutions, selon les termes de l'opération dont les détails ont été négociés pendant des mois entre le gouvernement grec et ses créanciers.
Comme pour convaincre les créanciers encore récalcitrants de se joindre au mouvement, l'Institut de la finance internationale (IIF) qui représente les principales banques de la planète, a égrené mercredi après-midi le nom de cette trentaine de grandes banques, assureurs et fonds d'investissement (Deutsche Bank, HSBC, BNP Paribas, Société Générale, Dexia...) qui ont donné leur accord.
Une adhésion dans laquelle le conégociateur en chef de l'opération, le Français Jean Lemierre, perçoit un signal fort: "c'est très important actuellement de voir que beaucoup d'institutions qui ont des montants importants (de dette grecque) vont à l'échange" a-t-il dit à l'AFP.
A part les grandes institutions, le reste de la dette grecque est dispersé entre des centaines de fonds d'investissement, fonds spéculatifs ou petites banques qui ne se sont pas manifestés et ne communiqueront pas forcément leur décision avant jeudi soir.
A l'issue du délai de candidature, la Grèce espère pouvoir compter sur une participation de plus de 90% du total de la dette éligible qui lui permettrait de procéder à l'opération en douceur, selon les termes prévus.
Le scénario catastrophe serait celui d'une adhésion inférieure à 75% qui précipiterait la Grèce vers un défaut brutal le 20 mars. Selon un rapport interne de l'IIF, un ratage de la restructuration ébranlerait l'économie européenne et mondiale. Opportunément dévoilée lundi, l'étude chiffre à 1.000 milliards le coût d'une banqueroute grecque.
Mais la trame la plus probable est celle d'un résultat médian, avec une participation entre 75 et 90%, qui pourrait donner un tour contraint à la restructuration.
Le gouvernement grec a en effet introduit, de manière rétroactive, des clauses d'action collective (CAC) dans les contrats régissant les obligations éligibles à l'échange. Ces clauses permettent d'imposer à l'ensemble des créanciers une modification qui n'aurait été acceptée que par une partie d'entre eux, en l'occurence 75%, selon le seuil fixé par la Grèce.
Le principal inconvénient d'un exercice des clauses serait le déclenchement vraisemblable des CDS (credit default swaps), les contrats de couverture contre le risque de défaut, dont le montant net atteignait 3,2 milliards de dollars fin février.
"Si l'opération perdait son caractère volontaire (...) cela pourrait dégrader l'offre pour les créanciers", a prévenu Jean Lemierre dans une interview au Monde daté du 8 mars.
Une réunion téléphonique des ministres des Finances de la zone euro est prévue vendredi pour faire le point, discuter d'un éventuel déclenchement des CAC et de la mise en place du prêt de 130 milliards d'euros qui doit suivre l'opération.
Le ministre luxembourgeois des Finances, Luc Frieden, a rappelé mercredi qu'un échec de l'échange d'obligations remettrait en cause le deuxième plan d'aide au pays en appelant à une participation maximum des institutions bancaires."
(AFP)
Je n'entre pas sur les bancaires car il me semble que le CAC a un potentiel maximum de 3475 : si on dépasse, j'entrerai probablement.
RépondreSupprimerAKE taquine 70 ce qui approche du premier objectif - mais il faut que les indices tiennent, faudra être vigilant pour les US
TEC pourrait pousser fort encore, vers 90 voire les dépasser à CT : on peut essayer de prendre le 3197 C qui est en vente à 0.03 (mais attention échéance 14/03 donc risque de tout perdre, on a jamais rien sans risque), idem des calls cac 3600 échéance proche si vous pensez comme moi que 3700 est dans le viseur CT
Tout ceci n'est pas un conseil d'achat c'est juste ma vision PERSO donc prenez VOS risques
Bonjour dans un marché parisien ou depuis le début de l'année il y a peu de volatilité. Ne pensez-vous pas que ces informations sur la Grèce ne reviennnent pas comme un plat réchauffé que l'on sort pour apporter de la volatilité pour le day trading.
RépondreSupprimerLe marché est en tendance hebdomadaire haussière. Les chiffres du chômage en France et aux États-Unis n'ont pas dévier la tendance de fond. Les chiffres des différentes entreprises cotées sont plutôt bons pour 2011. Aujourd'hui pour dévier la trajectoire seule la Grèce peut permettre aux bears de gagner un peu.
Oui , certes ,mais d'un autre coté , on peut penser que ce n'est pas impossible.
SupprimerOui en effet, il y a une menace vu la cure d'austérité faîtes aux peuple grecs (baisse des salaires... grave crise) après cela serai un gros échec pour l'Europe entière outre les milliards injectés cela serait le principe de l'europe forte dont on as crée (la monnaie unique, libre échange)Et la contagion qui c'est propagées dans les autres pays pourrait également reprendre. Pour ma part mais cela n'est qu'un avis personnel il faut isoler cette crise à la Grèce. De plus période électorale en France et aux states. On auras une réponse ce soir mais cela est en bonne voie vu la progression du cac aujourd'hui sur des rumeurs de bonnes nouvelles.
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerBsoir ,
Supprimerje ne partage pas ton avis sur une sortie de la Grece de la zone €.
Et si on prenait le probleme à l'envers ?
Et si c'etait l'Allemagne qui sortait de la zone € , pour permettre aux pays du sud de devaluer ?
(l'idée me vient à la suite d'un article de courrier International" , sur ce sujet)
avant cette lecture , j'aurais été de ton avis , mais depuis cette lecture , je vois les choses differement.
Je poste l'article en bas de la file .
Pour moi tvb, j'ai tempéré et suis sorti 3450 en attendant les US, je serai surpris que nous allions bien plus haut aujourd'hui? peut etre 3475........a suivre
RépondreSupprimerStat US conforme. Pas d'incidence sur le CAC à prévoir.
RépondreSupprimerBon les US ne se montrent pas trop haussiers et cela nous fait retourner sur les 3450/3440.
RépondreSupprimerAvez vous un avis sur la fin de séance?.
Attentisme jusqu'à la clôture en attendant l'heure fatidique concernant la dette grecque détenue par les créanciers privés.
SupprimerMerci Aroon mais franchement c'est dejà joué à l'heure ou nous parlons, non.
Supprimer16H57.
Coucou, attention on pourrait vendre la nouvelle vu comme on anticipe...
SupprimerLa confirmation du succès de l'opération sera un soulagement car il tourne une nouvelle page du énième épisode Grec. Les opérateurs de focaliseront sur les chiffres de l'emploi US demain.
SupprimerBonjour le blog !!! (euh... bonsoir aussi)
RépondreSupprimerBelle journée, semble-t-il !
Dès mon pécé allumé, je me suis précipité sur AKE : mon ordre de la veille étant par trop gourmand, je l'ai modifié selon la tendance de cette fin de séance, et je viens de sortir avec 9,5% de PV.
(je suis un peu du genre un tiens vaut mieux etc...)
Donc, je remercie chaleureusement Robin pour avoir partagé ses convictions, et tous les autres pour leurs encouragements.
Je suis toujours sur Bio et Pony, par ailleurs.
Je vous souhaite une excellente soirée !
bravo Qalf !!
SupprimerBien joué !
je suis content pour toi !! ;o)
SupprimerEh bien quelle superbe journée ! On est allé sur les 3475 dont je parlais mais comme on les a à peine passé je ne suis pas rentré sur les bancaires...de toute façon suis assez chargé comme ça (grosse position sur Technip notamment) et si ça venait à corriger (on est jamais à l'abri d'une mauvaise surprise que personne ne peut prévoir) je sortirai au mieux à mon pru, alors que si je charge en bancaires maintenant...
RépondreSupprimerMais pour le moment mes calls gagnent 100 points et je gagne à peu près 8% sur toutes mes actions (superbe GTO!), et si tout se passe bien on pourrait aller TRES rapidement à 3700 : on y croit, inch'allah !!
Bonne soirée
Robin , tu as été bon sur AKE , chapeau !!
SupprimerBonne soirée à toi
Les autres fois je pensais : Mer?§\, Put%$£... ce µ*£$¤#& de Robin a encore raison, et je n'ai pas pu rentrer !!!...
SupprimerAlors, François, si je puis me le permettre, Robin n'a pas été bon QUE sur Ake...
Merci à tous !
Les marchés ne grimpent pas uniquement sur le probable succès du PSI mais d'autres éléments sont venus titiller les investisseurs aujourd'hui. Je vous en parlerai dans mon analyse de ce soir...au programme La Chine et un QE3 stérilisé. A ce soir.
RépondreSupprimerUn article qu je souhaiterai partager avec vous:
RépondreSupprimerarticle courrier international
"L’Allemagne doit quitter la zone euro
Abandonner l’euro aux pays du sud de l’Europe équivaudrait à le dévaluer. Ce qui permettrait à ces Etats d’améliorer leur compétitivité
et de réduire le chômage.
Lorsque le taux de chômage desjeunes atteint 40 %, c’est que cela va très mal. La dernière fois qu’un tel désastre s’est produit dans les pays développés, c’était pendant la crise de 1929. La grande question est de savoir si, pour l’Europe du Sud, la situation actuelle se révélera plus grave, au bout du compte,
que celle qui prévalait dans les années 1930. De
fait, c’est déjà le cas pour la Grèce.
L’euro semblait pourtant une bonne idée
– arrimage de l’Allemagne à une “grande Europe”,
adoption d’une monnaie unique et, à terme, évolution vers des “Etats-Unis d’Europe”. Mais l’opération a tourné au fiasco. Le problème fondamental de la zone euro a une origine ancienne. Avant l’introduction de l’euro, entre 1957 et 1999, la monnaie grecque s’était incroyablement dépréciée par rapport au Deutschemark (elle avait perdu 96 % de sa valeur). La lire italienne avait abandonné
85 % de sa valeur, et le franc français 75 %.
Pourquoi une telle dégringolade ? Parce que
les gouvernements de ces pays partaient du principe selon lequel les électeurs doivent obtenir ce qu’ils demandent. Après 1999, une fois l’euro mis en place, ces Etats n’ont pas changé de comportement.
Depuis 2000 [et jusqu’à présent], les salaires grecs ont augmenté de 30 % par rapport aux salaires allemands. Et comme l’Etat grec avait
la possibilité d’emprunter à un taux d’intérêt aussi faible que son homologue allemand, il a pu se permettre cette hausse des rémunérations.
Si l’on était encore dans le monde d’avant 1999, l’Espagne, l’Italie, la Grèce, le Portugal et d’autres auraient aujourd’hui dévalué leur monnaie.
Mais, dans le monde d’après 1999, ce n’est
pas possible. Pour redevenir compétitifs, les pays d’Europe du Sud doivent dévaluer en interne. Or les dévaluations internes ont toujours entraîné des dépressions. En clair, une dévaluation interne implique de travailler deux fois plus dur et d’être deux fois plus productif pour un salaire inférieur de moitié. Cela signifie dégraisser le secteur public ,ne pas respecter les engagements en matière de paiement des retraites, tailler dans la
protection sociale, réformer le code du travail,
restreindre le rôle des syndicats, prélever davantage d’impôts sur les revenus… Parce qu’elle commence inévitablement par une montée en flèche du chômage, la dévaluation interne est extrêmement impopulaire.
Rétrospectivement, il paraît évident que les
pays qui ne parvenaient pas à suivre l’Allemagne
avant 1999 n’auraient jamais dû adopter l’euro.
Aujourd’hui, la meilleure solution pour sortir de l’impasse serait que l’Allemagne, les Pays-Bas et, disons, la Finlande quittent la zone euro et laissent la monnaie unique aux pays du Sud, y compris la France. Celapermettrait de préserver l’essentiel des dispositifs légaux. Les pays du Nord auraient un “euro du Nord”, qui s’apprécierait
face à l’euro et ils seraient payés par les
pays du Sud avec des euros qui vaudraient bien
sûr moins que les leurs. Mais de toute façon, ils seront perdants : au point où nous en sommes, la Grèce ne remboursera jamais ses emprunts à leur pleine valeur."
Martin Murenbeeld*
* Economiste en chef de la société canadienne
d’analyse et de conseil DundeeWealth Economics
Courrier international | n° 1113 | du 1er au 7 mars 2012
Desolé pour les ratés dans la construction du texte ,c'est
Supprimerbien sur un copier/coller , qqs reglages m'ont echappé.
Je trouve que l'idée n'est pas ininteressante , c'est un peu prendre le Pb à l'envers , plutot que de penser à une sortie de la Grece ,se serait une sortie de l'Allemagne.
Je suis curieux de connaitre vos avis.
Bonne soirée
Intéressant comme on discutait sur l'autre file de prendre le problème à l'envers. l'Allemagne est la locomotive de l’Europe et il est vrai que ce pays commence à avoir des réticences à donner à la Grèce et restreindre le pouvoir d'achat à ses habitants.
SupprimerMais "Si l’on était encore dans le monde d’avant 1999, l’Espagne, l’Italie, la Grèce, le Portugal et d’autres auraient aujourd’hui dévalué leur monnaie" (sacré bouleversement cela peut être profitable mais nouveaux traités, refontes totales de l'euro scindés à deux, calcul de la valeur monétaire des deux euro sud et nord.
Par contre la France est trop fière pour faire part aux pays du Sud et ne pas être dans le même "lot" que l'Allemagne.
Merci François pour cette nouvelle pensée du problème.
Ia Ora na François,
SupprimerMerci de partager ma satisfaction. Cela fait un bout de temps que je lis Robin, qui, outre sa réputation de "TRES forte personnalité" évoquée dans la page "Qui sont les padawans ?", a très peu souvent été pris en défaut. Et quand il l'a été, il a fait preuve de beaucoup d'humilité. Il se trouve que j'ai toujours été à contre-temps, et je m'en suis voulu à chaque fois parce que ses prédictions se sont, peu ou prou, vérifiées. Donc, ici, je suis simplement content d'avoir eu 1200€ de disponibilité (j'ai 6000€ en tout de capital investi, dont la moitié sur Pony... et oui, je suis "petit" retraité), et, comme je le disais dans un post lointain, je ne suis pas là pour m'enrichir mais juste pour améliorer mes week-ends à Moorea ou à Québec).
Tout cela pour dire que j'espère, très bientôt, réécrire strictement la même chose, mais en remplaçant "Robin" par "François", à la sortie de Pony... Mais, si ce n'est pas le cas, je me ressers un maitai, et TOUT VA BIEN !
Concernant la sortie de l'Allemagne, elle ne dépend pas de l'environnement économique, mais de la médiocrité politique. Si l'économie pèse à ce point, c'est juste parce qu'il y a zéro autorité politique, voire même une abdication et une complicité passive totale. Dans mon cours d'éco, en fac, en 1973 (je sais, vous n'étiez pas nés, tous, là :)), mon prof nous predisait cela pour dans les 20 ans à venir (bon, c'était un "horrible" gaucho, il est vrai).
Par contre, entre l'info et l'intox, c'est le défaut de la Grèce le 23 mars qui fait peur. Mais, il semblerait que ce ne soit qu'une question de date, parce que, sinon... Tel qu'il est bâti, effectivement, le système européen ne peut conduire qu'à cela. Et la Grèce n'est qu'un début !
Bon, merci pour les copier-coller, ça aura tenu tout mon premier thé... et un peu du second.
Bonne soirée, François !
avec plaisir pour le partage ,mais il ne serait rien sans
Supprimerretours , donc merci à toi .
C'est vrai que la France est trop fiere , comme tu le dis ,
mais il faut voir la realité en face , et nous sommes bien loin des Allemands.
Effectivement , il faudrait tout reprendre à zero .
Un point qui n'est pas soulevé dans cet article ,c'est que l'Allemagne exporte plus qu'elle n'importe et ne consomme.
Ce qui induit que ses produits exportés le sont à crédit
avec les "pays du sud" , donc , si ceux ci font faillite,
ou sont simplement en defaut de paiement sur leurs importations Allemandes , l'Allemagne se retrouve en deficit.
Toute l'eco Europeenne , voire meme mondiale , est tellement imbriquée , que c'est la theorie du chaos (l'aile d'un papillon qui provoquerait un raz de marée à l'autre bout de la planete) ,se qui induit que l'equilibre de chacun depend de l'autre , je pense qu'il faut soit sortir de ce contexte , soit mondialiser , mais alors radicalement , avec une seule monnaie de par le monde. (ce n'est qu'une idée)
Bonne soirée à toi
Ia Ora Na Qalf ,
Supprimerj'espere aussi que PONY tiendra ses promesses , si le CAC monte ,on sera gagnant !
avec ton PRU à 1.60 , tu es deja en PV ! (cool ;o)
De mon coté , je suis encore plus petit porteur que toi avec mes 3000€ (investis à 100% sur PONY)
Je suis d'accord avec toi ,la mediocrité des politiques est vraiment navrante , mais d'un autre coté ,on a les politiques qu'on merite , c'est nous qui les avons elu .
Perso , j'ai voté pour l'Europe , mais je pensais à une Europe sociale , pas une Europe des riches dirigée par les banques (idealisme , quand tu nous tiens...)
Je pense aussi que les dirigeants actuels n'ont rien à voir avec ceux qui ont précédé Giscard , qui ,je pense etaient integres , avaient connu la guerre ,parfois la resistance , mais du moins , le denouement et la pauvreté
durant l'occupation .
Ils avaient sut rectifier les erreurs des differents traités de 1919 ,et malgrés le traumatisme de la seconde guerre mondiale ,avaient le courage d'une vision positive et long termiste d'un monde à reconstruire pour un mieux vivre de tous.
Ce n'est plus le cas à present ,les politiques veulent le pouvoir pour le pouvoir et les privileges qui vont avec ,
et non pas le pouvoir pour changer les choses et ameliorer
nos conditions de vie .
Oui , ton prof voyait loin , et avait raison .
De tte façon ,il me parait evident qu'à moyen ou long terme , nous allons droit dans le mur ,et que nous allons vers une situation chaotique.
Quant à l'article sur une faillite de la Grece le 23 mars ,tu t'en doute , je ne sais pas si c'est de l'info ou de l'intox (j'espere que c'est de l'intox),je n'ai fais que la relayer pour la partager .
Au moins , comme ça , on en reparlera , ça va vite arriver , encore 15 jours !
9h du mat à Papeete ,je te souhaite de passer une belle et bonne journée , Qalf .
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimer"La Grèce assurée de pouvoir restructurer sa dette avec 75% de participation :
RépondreSupprimerLa participation des créanciers privés de la Grèce à l'opération d'effacement de dette du pays "dépasse 75%" depuis au moins mercredi soir, a indiqué une source gouvernementale grecque jeudi, peu après 16H00 GMT, ce qui semble assurer le pays de pouvoir mener à bien l'opération.
La Grèce avait prévenu qu'elle renoncerait à l'opération si le taux de réponse des créanciers ne représentait pas au moins 75% de la dette.
Les banques, compagnies d'assurance ou gestionnaires de fonds du monde entier détenant des obligations souveraines grecques ont jusqu'à jeudi 20H00 GMT pour dire s'ils acceptent ou non d'échanger leurs titres de dette, effaçant au passage plus de 100 milliards d'euros de dette grecque.
Le directeur de l'Institut de la Finance Internationale Charles Dallara, qui a mené les négociations du côté des banques face au gouvernement grec pour fixer les modalités de l'échange, a indiqué dans l'après-midi depuis Rio de Janeiro qu'il était "optimiste" sur le fait de parvenir à un accord "dans les prochaines heures".
"Je table sur une participation maximale des créanciers privés", a pour sa part affirmé le Premier ministre grec, Lucas Papademos, en ouvrant un conseil des ministres dans l'après-midi, cité par un communiqué de ses services.
Cela "est nécessaire" car "une participation relativement limitée (...) recèlerait des dangers pour les créanciers privés" a-t-il ajouté, en référence au risque que dans ce cas la solvabilité grecque ne puisse pas être rétablie à long terme et que la perte soit maximale pour les détenteurs de dette grecque.
A Belgrade, le Premier ministre italien Mario Monti a aussi fait part de son optimisme dans l'après-midi sur l'opération en cours, qui est la plus grosse opération d'effacement de dette d'un pays jamais réalisée de façon volontaire dans l'histoire financière.
La restructuration est vitale afin d'éviter au pays un défaut de paiement incontrôlé le 20 mars face à l'impossiblité de rembourser 14,4 milliards d'euros d'obligations arrivant à échéance à cette date.
La publication officielle du taux de participation interviendra vendredi à 06H00 GMT, a indiqué à l'AFP une source ministérielle."
(AFP)